La littérature jeunesse et la coopération en classe
- Geneviève Gilbert
- 31 mars 2017
- 1 min de lecture

La coopération, par ce qu’elle permet d’interactions et d’activité, tend à enrichir de cerveau de connexions qui deviennent, une fois établies, des appuis pour les apprentissages scolaires.
L'utilisation de la littérature jeunesse est un excellent moyen d'implanter le travail coopératif en classe. Pour ce faire, l'enseignant peut proposer de créer un livre-audio à partir d'un album préalablement sélectionné par les enfants. L’introduction ponctuelle d’un projet collaboratif permet de varier les regroupements d’élèves, de manipuler du matériel technologique, de se responsabiliser en lien avec le résultat final à produire, de trouver des stratégies en équipe pour relever des défis, de les amener à se questionner, de favoriser les échanges, etc.
Les élèves se sentent interpellés par un tel projet et sont portés à s'investir davantage dans leurs apprentissages. En effet, « avec un peu plus de recul, au niveau du projet conduit par l’enseignant et/ou son établissement, il est possible d’identifier une série d’intentions éducatives générées par la possibilité de travailler avec d’autres, en s’aidant. » Ainsi, par la coopération, les enfants, les jeunes et les élèves apprennent à devenir solidaires, à devenir acteurs de leurs apprentissages, à penser par eux-mêmes et deviennent cognitivement plus disponibles. Tout cela, grâce aux livres!
Références :
ÉDUCATION CANADA. Coopération en classe, [En ligne], http://www.cea-ace.ca/education-canada/article/impacts-%C3%A9ducatifs-de-la-coop%C3%A9ration-sur-les-apprentissages (Page consultée le 31 mars 2017).
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